La main sur le front, paume vers le haut Un regard lointain se promenant sur Doisneau. Il a vu que les rideaux étaient restés immobiles, Ce matin là madame voulait se sentir fragile.
Dans son fauteuil des jours de grands caprices, Elle se met en boule espérant qu'on la déplisse. Lui il a vu qu'il y avait du rouge sur sa bouche Ce matin madame a envie qu'on la touche.
Voilà qu'elle se souvient madame Qu'il est parti qu'il ne voit plus ses états d'âme. Et voilà qu'elle comprend madame Que l'ombre qui la suivait c'est l'ombre de sa canne. Et voilà qu'elle comprend madame Que l'ombre qu'elle lui donnait c'est celle de sa canne.
Elle dit il était toujours droit, toujours à coté de moi Elle dit il était toujours là et je m'appuierai sur ça. Elle dit il était toujours, droit toujours à coté de moi Elle dit il était toujours là en serrant son amant de bois.
La main sur le front, paume vers le haut Un regard lointain se promenant sur Doisneau. Il est plus là pour voir les rideaux immobiles, Ce matin madame je crois qu'elle devient fragile.
Dans son fauteuil des jours de grands caprices, Elle se met en boule elle veut plus qu'on la déplisse. À quoi ça sert d'avoir du rouge sur sa bouche Maintenant madame elle veut plus qu'on la touche.
Elle dit il était toujours droit, toujours à coté de moi Elle dit il était toujours là et je m'appuierai sur ça. Elle dit il était toujours, droit toujours à coté de moi Elle dit il était toujours là en serrant son amant de bois.
Alors elle sert plus fort sa canneTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.