Sous un plafond trop haut Pour y coller des étoiles J'avais pendu mes stylos Ca rend le vide moins banal Je rêvais de ce garçon Quand ma couette décidais De m'engloutir du cou aux petons Parce que la nuit était tombé Lui, la voix grave Articlant chaque syllabes La classe la plus nonchalante qui soit Ses valses me calmait déjà J'avais pendu toutes les couleurs Ne sachant pas si mon gangster Préférai coucher ses humeurs En rouge, en bleu, en noir, en vert Lui, l'homme du moment Chantait la femmes en mi Les hommes en, en carré sans sa guitare Et moi j'avais plus peur du noir Quand il voudra mettre du vent Chanter son destin de chômeur intermittent Il pourra penser, peut-être A celle qui voit, gangster vedette Tout les matins suivant ses traces Le regard lointain, l'air blasée J'articulais mon Brassens Debout sur les cabinets Quel meilleur scéne pour débuter Surtout quand en face des toilettes Y avait un miroir accroché Je pouvais détaillé mes scénettes Lui, l'homme du moment Chantait la femmes en mi Les hommes en, en carré sans sa guitare Et moi j'avais plus peur du noir Quand il voudra mettre du vent Chanter son destin de chômeur intermittent Il pourra penser, peut-être A celle qui voit, gangster vedette Je me souvient mettre demandé Ou il pouvait bien répéter Il était trop grand pour les chiottes Il serait vu que les fesses et les pieds Si tu veux bien, Alexis Je te monte d'une étagère Je te met sur scelle des génies Qui on su l'etre sans en avoir l'air Quand il voudra mettre du vent Chanter ton destin de chômeur intermittent Tu pourra penser, peut-être A celle qui te voit, gangster vedetteTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.