Barbe Pelot dit la sorcière fût torturée au fond du cachot Elle envoya de son bûcher, un dernier sort sur les gens du château Ainsi l’promis de la princesse, preux chevalier si tendre et aimant Sous la grand’ dalle d’la cathédrale soudainement fut emmuré vivant
Au cœur du ventre de l’antre l’homme cria du fond des cryptes Pour que les pierres le libèrent et nous racontent le temps des mythes
Le temps passa le sort aussi, l’homme était transformé en bête Emprisonné dessous la ville, un feu brûlait tout au fond de son être Jusqu’aux passages du souterrain, toutes gargouilles vomissaient de l’eau Abreuvant ainsi l’animal, qui chaque jour était de plus en plus gros
Quand du clocher les carillons, sonnèrent treize coups du même temps Réveillant gisants et dragon, dansaient les carillonneurs du grand Satan La terre bougea fendant la pierre, laissant entrer espoir et lumière Alors la bête brisa ses chaînes, se libérant enfin de son enfer
Et la princesse triste et dolente, sur la grand’ tour du château d’Chimay Gardait son cœur pour un crapaud, mais un dragon volant s’est présenté La bête surgie cherchant l’aimée de sa prison s’était extirpée Le sort et lui s’sont envolés, les amoureux ils se sont embrasésTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.