Les cordes de la contrebasse Où l'on pendra ta vieille carne Je suis les faux bijoux Des femmes pauvres Et toute d'or revêtue J'attends les verts printemps La nuit surtout
O ma frangine ancienne et solennelle Ma soeur d'outre-saison Mon ancienne pâleur Quand je mettais du sang Dans le coeur des poètes Qui me le rendaient bien Avec les intérêts...
Le charme de la détresse Les yeux cernés de l'inquiétude Les soucis de l'enfant prodigue Et je fane les filles en fleurs Et ça va vite, vite, vite..; Regardez donc ces rides, Président, Qui embarrassent les magazines Et c'est la nuit qu'elles se défont Dans l'ombre de la chair allée Vers des problèmes de coutures Vers des problèmes de mictions...
La Misère pisse quand même Elle vieillit sans les atouts Avec un as de pique dans les ovaires Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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