Et tous ces inconnus qui mettent à la voile Sur de longs autobus au voyage haché Laissent de leur limon intime à des étoiles Qui brillent tristement au coin des rues barrées
Les âmes des putains qui ont été mariées Errent dans les mairies aplaties sous des chaises Le patronyme les travaille et l'hyménée Les agace beaucoup plus que la Marseillaise
Le ventre au chaud, les pieds sanglés de crocodile Das Kapitale prends son café au bar du coin L'air effaré parmi la merde de la ville Le pourboire agressif et l'oeil américain
Une fille gonflée au devant comme une outre Le regard d'agacée le sucre au fond du pot Et pense mais trop tard au prolétaire foutre Qui la fait respectable et lui crève la peau
Et tous ces inconnus qui mettent à la voile Sur de longs autobus au voyage haché Laissent de leur limon intime à des étoiles Qui brillent tristement au coin des rues barréesTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.