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Par son compagnon d'infortune,
Cet être morose,
Rempli d'amertume,

Aux soupirs de lamentation,
S'ajoutent, à présent,
La colère et l'indignation.

Le fardeau de la disgrâce
Fomente d'amères pensées
Le bonheur… PAS POUR MOI !
L'allégresse… PAS POUR MOI !

Raillé par ses prochains
Ils se gaussent du savetier
La rancœur… NAÎT EN MOI !
Le mépris… NAÎT EN MOI !

Voyant son semblable, déchu de toute son infortune,
L'espoir naît en lui, par cette nuit de brume.
Par quel envoûtement perçoit-on la félicité ?
Chasser le tourment, sans réellement se consumer ?

Lui aussi trouvera les officiants du Sabbat
Et à la pleine lune, avec eux, il chantera.

Le désir de vengeance
L'incite à resquiller.
Le pouvoir… VIENS À MOI !
La richesse… VIENS À MOI !

Il entre dans la danse,
Provoque l'ire des sorciers.
Le châtiment… JE REÇOIS !
Une nouvelle bosse… JE REÇOIS !

Vice de son semblable, complément de son infortune,
L'espoir meurt en lui, par cette nuit de brume.
Point de faveur, en l'absence de sincérité.
Enfle le tourment, par l'incantation des sorciers.

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