Animées par la convoitise et les regards envieux, Les 3 mâtines s'accommodent à plaire, Rejetant, avec orgueil, les demandes de leurs soupirants, Causant du tourment à leur père.
Par ce jour sacré, Elles entrent dans la Maison de Dieu, Épiées de tous, Méprisant tous ces cul-terreux
Le cœur enivré A la vue des trois cavaliers Beaux, hardis, Sont-ils dignes de les épouser ?
Songe délicat, Candeur mortifère, Illusion d'éclat, Consume la chair.
Éloquent et noble, leur rencontre est plaisante. Ils échangent maintes politesses, Alléguant affaire, des jeunes filles, ils s'absentent. Des retrouvailles, elles s'empressent.
La déterminée Se rend dans la maison des preux, A travers fourrées, Moquant le duc précautionneux.
Jadis dépeuplée, L'illustre demeure apparaît. Curieuse et discrète, La belle parvient à se glisser
Songe délicat, Candeur mortifère, Illusion d'éclat, Consume la chair.
Ils déchirent la chair Envahie par une peur intestine
En l'absence d'humilité, à force de s'infatuer, Dans l'ombre, l'hypocrisie se dresse, Simulacre d'émoi et d'affabilité, Ayant pour unique dessein : vous DÉ-VO-RER.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.
