Dans la pénombre de la nuit, Errant le long de la clairière, Les fers jouent cette douce mélodie Telle une marche funèbre.
Chevauché par les âmes innocentes, Dans ce dernier tour de manège, Menant au cœur de la rivière.
Destrier acéphale au cœur noir, Sans aucune vergogne, tu assassines. La lune révèle tes sordides courbes, Destrier sans âme ni empathie
Par le bruit De son trot envoûtant, L'eau emplit Leur poitrine.
Un dernier souffle s'échappe du chérubin, Dans une lente et froide agonie. À l'aube, le cri d'une mère déchira la nuit. Son enfant a perdu la vie.
Chevauché par les âmes innocentes, Dans ce dernier tour de manège, Un corps de plus dans la rivière.
Destrier acéphale au cœur noir, Sans aucune vergogne, tu assassines. La lune révèle tes sordides courbes, Destrier sans âme ni empathie
Par le bruit De son trot envoûtant, L'eau emplit Leur poitrine.
Dans la pénombre de la nuit, Errant le long de la clairière, Les fers jouent cette douce mélodie Pour une énième marche funèbre.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.