Sept ans de plus pour oser te violer sachant très bien que la prescription guette. Sept ans de trop, c'est trop de temps perdu, Trop de ponts laminés par des torrents de paille.
Mais le fruit maudit rejoint la masse, La sève d'antan s'est changée en pleurs. Que dire de tous ceux qui t'ont miné Sinon que leur filon sent la poisse.
Mais nous, on a voulu continuer sans se soucier de tout ce Cirque. On se fout de tous les juges qui nous visent Grâce à nous on peut gagner un autre no man's land Vers d'autres routes, de nouveaux horizons. Il te faudra coûte que coûte, No man's land.
Retour en scène, "Salut à tous, ça va ? Croyez pas qu'les tueurs ont perdu leur cœur. J'imagine aussi que vous aussi, ça a du être dur". Mais non, j'déconne, ça y est, j'me prend pour un critique.
Vieillots, tarés, abrutis, ivrognes !!! Allez-y de bon cœur, on en a rien à battre. Messieurs les cons, amusez-vous sans nous, On a su grandir en se passant de vous.
Le danger avec tous ces oiseaux, c'est qu'ils essaient Toujours D'imposer leurs modes, leurs goûts et leurs paroles, Grâce à vous, on leur balance un autre no man's land.
Retrouver l'envie d'aller plus loin, bien plus loin que L'horizon et toujours continuer en avant sans s'occuper du Mauvais Temps.
Garder les yeux toujours ouverts et bien rester les pieds Sur terre. Ne pas jouer au petit connard qui se plait à casser tout ce Qui le dépasse. Tu sais, on cherche pas la bagarre Mais le no man's land, c'est notre cœur. Et si jamais il bat trop fort, c'est qu'il a besoin qu'on L'écoute.
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