Un regard triste, une beauté sans limite, C'est dans un regard vide qu'ils ont choisi De camoufler leur peur. Dans leur visage une cicatrice invisible à tes yeux Factices. Dans leur cœur une déchirure, comme une peur qui les Défigure. Tu n'oublies jamais qu'ils sont fruits D'un amour sale et honteux, d'une liaison étrangère. La douleur qui les imprègne ne pourra se taire. Mais je voudrais pouvoir crever mes yeux Pour ne plus voir ta misère et ne plus voir son règne : Tant d'images dans le miroir.
Maudit soit le nom de celui qui engendre tous ces gosses. Viens t'expliquer devant les hérétiques qui osent mettre en Cause Le pouvoir sans la gloire. Maudit soit le nom de celui qui a le pouvoir de changer les Hommes. Mais je pourrais jamais pardonner ton absence, Je ne pourrais jamais comprendre ton silence. J'ai pourtant essayé de comprendre pourquoi toujours, Le pouvoir sent la gloire.
Faudra que t'arrives un jour à te rendre compte Que t'es pas là pour vivre sans aucun doute. Le jour où t'auras compris que les choses sont fausses, Ca va venir, mais n'oublie jamais qu'on se casse souvent Le cœur à rêver que la sincérité va passer. Mais ce soir, tout me paraît triste, j'vois toujours pas D'issue. Mais je voudrai partir de ce rivage pour ne plus voir ta Misère, Et ne plus voir son règne, qu'elle crève cette terre. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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