À chaque inhalation j'écris Les poudreuses lignes de ma vie Hier j'avais pourtant juré De ne plus jamais écrire d'histoire J'ai peur du jour où sera raconté Mon déclin, ma triste fin Des bourrasques glaciales Tourbillonnent dans ma tête
Comme si mes pensées étaient de glace Je ne vois rien mes yeux menacent De me trahir
Le blanc pâlit mon noir Mais le rend encore plus sombre Je ne sais pas si j'aime me haïr Ou si j'haïs m'aimer
Comme si mes pensées étaient de glace Je ne vois rien mes yeux menacent De me trahir
J'aperçois ma silhouette Je l'efface d'une violent poudrerie Me faire mourir, je le regrette Un instant je ne me sens plus meurtrie
Comme si mes pensées étaient de glace Je ne vois rien mes yeux menacent De me trahir Une joie un peu maussade Je m'empresse d'y retourner Me bâtir de papier une façade Je ne cesse de me mortifierTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.