Myriades de vies, tous on s'embarque Tous ce qu'est en haut tout est en bas Tout est unique tout est semblable Tout ce qui arrive un jour s'en va Tout est subtile tout est grand je crois Qu'on devrait voir comme les anges voient Parole en bois du mal à croire en toi En tout ce que les gens croient Tous les endroits contaminés par la maladie de l'intérêt du biff et bizness Milliards de peur aucune compatirait C'est l'égoïsme et même lui est fait de tristesse La place de l'Homme dans l'ordre des choses C'est en soi qu'on délie le mystère Fuck le système camarade on ira pas au bûcher sans être de ceux qui se taisent Les cœurs brulants comme des petites braises Constatent que c'est Babylone qui stress Des millions de tours de Babel s'agitent Pendant qu'en scred on pirate leur disquette On a la puissance de la terre mère L'audace de leur dire d'aller se faire mettre Le nombre et la force le sage héritage une flamme et un cœur universel Allez leur dire qu'on est plus grand debout Que l'instinct de vie est plus fort que tout Plus fort que le doute, on ne change pas de route On écoute car Dieu parle à l'intérieur de nous Barreaux en fer dans un gant de velours Prison doré sans un plan de secours Au milieu des secousses On avance sur un fil du maquis, à la ville la où tout le monde se pousse Résister contre, avancer pour Insurgés, voici le grand retour Le grand retour à la Terre et grâce à Dieu, c'est vers le ciel en nous même que l'on se tourne Débranché de vos doctrines Où la masse se crève pour que les autres brilles Toujours les mêmes que l'on opprime Prête à mourir pour passer sur l'autre rive Ici bas on s'attend au pire, vision oblique On brise le schéma des années Les fils de Satan ont pris la planète au prix de la peur mais la vie est vouée à gagner A l'intérieur de chacun C'est un gosse qui hurle de chagrin J'écoute Dieu, pas les chapelains Sur Terre Mère, ses villes et ses patelins Nique les traitres et les baltringues Babylone, shit et ses gardiens Conscient et à bout de nerfs, on est tarpin Depuis l'époque où ça zonait à pleins Dehors où les grands nous disait "le monde t'appartient" Vices et baratins, vie à Baldaquin Ruine en aparté, magie d'Aladdin Barreau de papier gravé au gradin Cage en or plaqué, clapet à lapin Surgravé parce qui y a atteindre Dis moi la vie à quoi ça tiens Camarade, remercies chaque matin Chaque jour comme une nouvelle dans la peine Même si demain le pire est à craindre Evites la peur, évites la bien C'est la guerre des esprits, la guerre des sapiens Qui ne se résous qu'à l'intérieur de chacun
Refrain: Qui sera prêt à assumer d'avoir défendue de son âme De nobles principes de vie à l'heure où on écrit son drame Qui sera prêt à être en paix et même au milieu du chaos Qui gardera la main ouverte malgré un poing levé bien hautTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.