Toujours ce silence immobile, Empris par chacune de tes larmes Toujours cette croyance assassine Qui porte ton coeur loin de moi. Sur tes joues, ces perles qui roulent Sont autant de pričres et d´espérance Trahissant derričre tes paupičres lourdes De riches pierres taillées dans la souffrance. Toujours cette croyance assassine De beau et d´éternel ...Et partir avec cette compagne indigne... Et déjŕ montent en moi, les fičvres vengeresses Déchirées ŕ la vue de ton corps éteint Le coeur souillé par ces pensées pęcheresses Autant que par ce remord qui l´étreint. Si tes derniers instants sont siens, Je me ferai seul juge du jour et de l´heure... C´est en te ręvant sans vie, Que je te ręvais en paix Je sens venir la fin du silence, Le cri salvateur [...] Et ce cri en guise de révérence, Déchire les cieux En męme temps que la loi du silence Dans un paradoxe meurtrier.
Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
|