La première fois que je t'ai rencontré, juste une très bonne impression (très bonne qualité feuille ?), ta gestuelle, je n'sais pas, ton propos, tes chaussures, autant t'imiter, autant te citer La deuxième fois que je t'ai rencontré Juste, la fascination, l'amour sans condition et sérieux sans humour, Marx sans ses brothers, je récite par cœur ton parcours de vainqueur…
Et désormais je me traîne dans tes idées halles Mais dix ans après ? Sans distance, je colle, à distance, je calle Médisance après Enculé, tu te fais maître dans mon idéal Mais dix ans après ? Le pistol est superbe, Deleuze génial…
Car tes principes étaient haïssables, mais si bien énoncés, la beauté la jeunesse, venait tout enrober, mais désormais, je sens, mais désormais, je sais : l'ordre des choses, l'établissement Alors moi je t'emmerde pauvre idole des jeunes à la con, qui admire l'élégance des braqueurs et de leurs gants. Mais bordel que ferait tu sans l'Etat ! Regarde ton Etat ! Regarde mon Etat !
Et désormais je me traîne dans d'autres idées halles Mais dix ans après ? Sans distance, je colle, à distance, je calle Médisance après Enculé, je te drainerais dans mes idées halles Mais dix ans après ? L'Europe reste un choix, Platon c'est pas si mal… Sans intérêt je crois, si mes souvenirs sont bons… De quel droit faire confiance à tous ces souvenirs ? A vrai dire je n'sais pas, mais j'ai pris l'habitude. A dire vrai, je n'sais pas, mais j'ai pris l'habitude, la mauvaise habitude de ne plus penser à rien et rien ne fait problème donc pas de solution, tu sais juste qu'il y a (mais dix ans après ?) médisance après.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.