Au chevet de nos tristesses, le temps s'est figé Avec pour seuls compagnons, des souvenirs Qui semblent en permanence nous échapper
Et à l'abri du monde, éloignés des turpitudes Du désastre ambiant, de nos sales habitudes Attendant d'éclore, à nouveau, et réanimer Ce défaillant parcours, tordu, vrillé.
Vitale régression, pour le nouveau départ Aux heures sombres et languides Raviver la flamme qui semble vaciller Sous la contrainte d'un immense éteignoir
Iniques destins desquels s'engonce la douleur Piégés dans l'épaisse brume des ivresses Asservis, meurtris, figés dans la paresse Mais saouls de souvenirs, désireux d'espoir A nouveau. Renaître, revivre.
Au chevet de nos tristesses, le temps s'est figé Avec pour seules compagnons, des souvenirs Qui semblent en permanence nous échapper
A l'abri du monde, éloignés des turpitudes Du désastre ambiant, des sales habitudes Attendant d'éclore, à nouveau, et réanimer Ce défaillant parcours, tordu, vrillé.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.