Les matins volets clos À pas tirer le jour À cause des nuits passées À chercher des abris
Les fonds de bouteilles Laissés au détour d'un détour Aux ventres déchirés À la mort de la nuit
Oublier Ouais, ça y est J'ai presque oublié
Envahir les villes Pour violer le silence Vivre comme un appât Cherche le corps à corps
Toujours être parti Jamais là le dimanche Remplacer sa maison Par un aéroport
Oublier Ouais, ça y est J'ai presque oublié
Oublier Ouais, ça y est J'ai presque oublié
Je suis payé pour en parler Ah! je te dis, je te dis, je te dis Ouais, que j'ai oublié
Prendre des coups au coeur Prendre un coup de hache Savoir qu'elle est partie Pour savoir que j'ai tort
Opposer mon sourire Au malheur que je cache Ou lancer par mépris Un défi à la mort
Oublier Ouais, ça y est J'ai presque oublié
Les nuits à faire l'amour Pour ne penser qu'à elle La vouloir contre moi Et la sentir ailleurs
Attendre d'elle un geste Un regard un appel Et rester seul toujours Au pire comme au meilleur
Oublier Oui jamais Je pourrai oublier
Oublier Non jamais Non, je pourrai oublier
Je suis payé pour en parler Ah jamais jamais jamais Non, je pourrai l'oublier
Je suis payé pour en parler Jamais jamais jamais Non, je pourrai l'oublier
Jamais jamais jamais Non, je pourrai l'oublier Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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