La nuit ouvre ses fenêtres, Sur la planète déserte, S'écrase dans une cigarette, Joue sur l'onde muette.
Et l'homme s'enferme sans attitude, Compte à rebours sa solitude; "Barreaux rouillés à cause d'elle, Ma vie se perd, se sèche".
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras, Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas. Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas, Non Johnny, Johnny cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, Epuisé par tant d'effort, Tu l'aimes encore.
Les murs imprégnés de traces, Son parfum se déplace, La chercher même dans l'espace, Quand l'alcool te menace.
Et l'homme se saôule d'incertitudes, Dans sa fierté cache sa blessure, "Rideau de fer, comment faire, Comment survivre sans elle".
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras, Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas. Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas, Non Johnny, Johnny cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, Epuisé par tant d'effort, Tu l'aimes encore.
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras, Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas. Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas, Non Johnny, Johnny cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, Epuisé par tant d'effort, Tu l'aimes.
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras, Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas. Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas, Non Johnny, Johnny cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort...Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.