Ce que les années sont longues Lorsqu'on attend que décembre Nous illumine les boulevards Qui refroidissent nos ombres
Par un mois de décembre J'ai découvert ses yeux Dans la blancheur aveuglante D'un hiver trop précieux (Et si tout n'était juste qu'un rêve)
Par un mois de décembre J'aurais voulu le revoir Impressionné solitaire Dans l'obscurité d'un bar (Et si tout n'était juste qu'un seul rêve)
Dans l'attente monotone J'revois c'qui n'est plus à voir Les larmes glacées de l'automne Vont déposer leurs buvards
Par un mois de décembre J'ai découvert ses yeux Sous la blancheur aveuglante D'un hiver trop précieux (Et si tout n'était juste qu'un rêve)
Par un mois de décembre J'aurais voulu le revoir Impressionné solitaire Dans l'obscurité d'un bar (Et si tout n'était juste qu'un rêve)
Par un mois de décembre J'ai découvert ses yeux Sous la blancheur aveuglante D'un hiver trop précieux (Et si tout n'était juste qu'un rêve)
Par un mois de décembre J'aurais voulu le revoir Impressionné solitaire Dans l'obscurité d'un bar (Et si tout n'était juste qu'un rêve)
Ce que les années sont longues En attendant que décembre revienne Et je promène cette ombre Comme une vieille parisienne
Dieu, que les années sont longues En attendant que décembre revienne J'ressemble à cette Joconde Avec ce sourire presque éternel
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