Livrés aux vents et aux vertiges D'une ville qui ne me reconnait pas De tous ces maux qui se figent Parquoi en suis-je arrivé la?
Je crois qui même les mensonges d'un dieu Ne pourraient rien pour moi Ou même le fait d'être deux, je suis si las
La douleur est telle, que je ne peux la calmer Le goût amer des jours m'en a dissuadé
Livrés aux vents et aux vertiges D'une ville qui ne me reconnait pas De tous ces maux qui se figent Parquoi en suis-je arriver la?
Seul
Du haut du toit de ma cité Je ne serai plus jamais leur laquais
La nature est si belle, je ne voudrais la souiller Plus longtemps, de ma présence si vaine Je dois, m'abandonner, à jamais
Au fond c'est une si belle journée Je devrais me décider à sauter Repeindre de mon être écorché Le gris des murs et cette morosité Il est temps pour ces larves d'aller travailler Engrossir éncore cette ruche dévastée Je suis la crainte de l'éternité La souffrance de toute l'humanitéTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.