J / Je / Légendes urbaines
Un jour viendra où tous sombreront et dépériront De trop de modelages des esthètes uniformes Pliant sous le poids de la lumière des villes Se réfugiant comme les rat, dans les bas-fonds
Se liant avec la souillure, l'humain changera En son corps, un sang noir coulera De nouveaux prophètes dans les ombres naîtront Ce monde ayant pour fatalité sa seule destruction
La chair est faible, les masses le sont aussi Suivant les despotes de leur yeux ébahis Tout attachement est vain, toute croyance obsolète Il n'y aura pas de salut, autant de paradis imparfaits
Nous sommes l'abstraction et le vide est nôtre
Bienvenue dans l'étreinte tentaculaire Ces portes ouvertes Ne sont que miroirs sur le vide Et qu'aucun n'apparaissent La douleur que l'on me sert Je ne crois pas être Ou bien choisi Damné dans les cieux Je pleure et je cris
Les autres, les autres ne savent pas... Les autres ignorent...
Dans les bas-fonds nous progressons De grisaille nous sommes fait Des existences dans le vide Personne ne se souviendra De nous, sol que vous foulez
Ignorants Aveugles Du mal de notre siècle Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |