Tout à fait inutile que je me présente Je vous envahis, je vous assaille, je vous hante J’ai creusé dans tous les bonheurs, un gouffre sans fond Que je remplis à coup de vente
J’ai bâti mon empire avec des cartes Avec ma face sur des millions de pancartes J’ai marqué ma marque dans la tête du monde au fer rouge Puis je prends leur part de la tarte
Je n’en ai rien à foutre si l’argent pousse dans les armes S’il faut que je l’arrose avec du sang puis des larmes Je vends des instruments aux grands orchestres de la mort Quel symphonique vacarme!
Je n’ai pas de remords à voir des pauvres en hardes Quand pour deux cents leurs cartes de «punch» se poignardent J’ai longtemps flagellé les reins des esclaves Mais là, c’est le cerveau que je darde
Pour mettre de la vaisselle en or sur ma nappe Je n’ai pas de scrupule à massacrer la map’ « EEUUUU » J’ai enrôlé la race entière dans ma galère Il n’y a personne qui y échappe
Vous payez cher pour que je resserre vos sangles Vous nourrissez la main qui vous étrangle Je pousse entre vos deux oreilles comme un champignon Comme des vers dans de la viandeTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.