Y'a même pas une minute que je t'observe Je te connais déjà mieux que personne Je sais qu'c'est au caviar que tu te conserves Et au champagne que tu t'abandonnes
Ton papa est une grosse huile du pétrole Tu es jeune, tu es belle, et tu te consoles En invitant tout l'monde chaque soir Moi je fais les cent pas sur le trottoir
Tes p'tits amis s'ennuient et ils se grisent Et maint'nant ils te réclament un strip tease Pense un p'tit peu à moi, ouvre les rideaux Moi je veux que ton corps, je veux pas ta peau
Les gorilles font le guet dehors, n'empêche Que tu reçois toi même les paparazzi Comme ils l'ont mérité, à coup de flèches Ils écrivent que t'es pire que la louve des nazis
Mais t'es qu'une petite fille entre chien et loup À l'heure où tu partages tes somnifères Avec ta poupée Elsa, à l'heure où Tu t'endors en faisant des rêves amers
Dans le coffre d'une Rolls rose bonbon Perdue sur un parking de Cinecittà L'oreille de Paul Getty, troisième du nom Il y a un prix pour la Dolce VitaTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.