Lettre à mes peurs : je vous quitte. À mes pleurs : je vous laisse dans la fureur de vos stress, mais là je meurs. Si je reste, je perds le fil, je perds l’ivresse légère et fine de vos tendresses, de nos victoires, de la vie qui caresse quand on se marre.
Je sonne la trêve ; dans une main les rêves dans l’autre les espoirs, je pars.
J’abandonne, oh ma douleur. Quand j’explore, je respire, je respire. J’abandonne, oh ma douleur. Quand j’explore, je respire, je l’explique pas.
Je vais pas préparer. Je vais pas planifier. Je ne vais pas savoir. Je vais juste essayer de vivre sans prévoir ce qu’on sera demain, car j’ai du mal à croire que l’on vivra sereins à tant se projeter, à oublier maintenant et j’en ai bien laissé des plumes, oh trop souvent.
Je sonne la trêve ; dans une main les rêves dans l’autre les espoirs, je pars.
J’abandonne, oh ma douleur. Quand j’explore, je respire, je respire. J’abandonne, oh ma douleur. Quand j’explore, je respire, je l’explique pas.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.