La gueule sinistre, en béton armé Des cheveux qui se barrent vers le blanc cassé La rue qui crache, vomit sa fumée Le bruit qui roule, tam-tam ougandais
Des gestes secs, automatisés Des jeans collants comme un sucre épais Des mots qui glissent, aromatisés Aux odeurs fauves des bureaux fermés
Des heures qui passent à palper le papier Mise en sourdine d´un gros flot d´idées Passage à vide d´un regard bleuté Sur la mémoire d´un ruban carboné
Des mains qui traînent sur d´étranges claviers La cigarette qui ravale sa fumée Le temps qui file, filament parfumé Faisceau fantôme d´un univers doré
Le secrétariat? Troisième porte à gauche au fond du couloir
Du couloir Du couloirTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.