Il y a des fois où j’aimerais bien savoir pourquoi La vie des uns demeure sans aucun lendemain. Il y a des lois où l’on n’a pas tous les mêmes droits, Mais que penser quand on voit la vie s’en aller S’éloigner, s’effacer, s’en aller ?
Je ne pensais pas qu’un jour L’amour mettrai fin à tes jours. Que tous ces corps en désaccords Signeraient ta mise à mort. Tu croyais que l’amour, Ça ne serait que du plaisir Mais pas que sans détours Tu risquerais d’en mourir !
J’aimerais te le dire Que ton regard c’est l’avenir, Mais seulement, c’est mentir Ça ne sera qu’un souvenir. J’aimerais te sourire Et pouvoir te guérir. Mais seulement, t’es souffrant, La maladie s’étend…
Je ne pensais pas que tu serais sourd A tous ces beaux discours. Que tant de tords et de retords Flingueraient tes anticorps. Tu croyais que l’amour Comblerait tes désirs. Mais pas que sans détours T’y trouverais le pire…
J’aimerais te garder Et pouvoir te soulager. Pas seulement te regarder Sans pouvoir t’aider. J’aimerais te chérir Et pouvoir te retenir. Pas seulement faire semblant Que tu resteras vivantTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.