L’irréel flirte avec le jour Et engendra de cet amour De sombres cieux percés d’espoir, De sombres lieux bercés de soirs.
L’essentiel reste en sa demeure La douce noirceur de son labeur, De parsemer l’incandescence, De parsemer la quintessence.
C’est une ode à la nuit A l’aube endormie Où l’onirisme intarissable Insuffle une autre vie. Une ode à la nuit Sublime hérésie Où l’obscurité insaisissable Estampe l’heure d’un sursis.
Rebelle éphémère pour toujours, Elle enfanta de ses atours De l’ombre heurtée aux au revoir, De l’ombre bleutée en sa mémoire.
C’est elle qui sculpte toutes les nuits Un ciel ouvert aux érudits, D’épars sommeils qui s’épanouissent, D’épars sommeils qui s’évanouissent.
L’aurore se trace, l’idéal fertile de l’antre des deux faces, Encore fugace, sidéral fébrile, un chantre qui s’efface. Encore, l’obscurité s’endort L’aurore, révèle ce qu’elle ignore Encore… Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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