Désarroi ancestral De l'esprit assouvit, Décadence magistrale De l'ennui qui périt Aux alois qui ont mal De l'envie qui surgit, Transcendance animale De l'avis qui régit.
Aux mirages tailladés De regards imposants, Extase canardée Des hasards versants.
A nos âges lacérés Par nos phrases d'ignorants, Toute l'emphase accordée Aux cafards amusants, A l'émoi viscéral De cracher ces railleries Résonances infernales De l'ennui qui épie.
A leurs rêves animés De pensées renversantes, Que nourrit l'affamé De paroles infamantes. A leur trêve espérée De versets mécréants, Qui pourrit l'accablé Aux rôles dégoûtants.
De la pensée qui critique L'apparence d'autrui, Un geste de lassitude S'empare de ma plénitude.
De la saleté cynique, De la différence qui détruit, Quelle peste d'attitude Accuse la solitude? Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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