Que le ciel nous épargne Du haut de cette grisaille, Mais la misère nous gagne Du haut de nos entrailles.
Que le ciel nous accapare Du haut de son brouillard, Mais la misère a pris part Du haut des étendards.
Et les feux nous embrasent Par les vents qui nous enlacent. Mais les heures s’entrelacent Au temps qui lui, s’efface.
Et les feux bercent l’enfance Par les vents quelle décadence ! Mais les pleurs se dispensent Du temps qui se dépense…
Mais le temps n’attend plus Que les gens n’enfantent plus. Car le temps s’impatiente…
Que le ciel nous inspire Du haut de ces nuages, Mais la misère transpire Du haut de nos carnages.
Et les feux font leur danse Par les vents qui les cadencent. Mais les heures se distancent Du temps qui se balance.
Et les feux pleins de grâce Par les vents qui les valsent. Mais les pleurs sont sagaces Et le temps lui s’agace !
Mais le temps n’attend plus Que les gens n’enfantent plus. Car le temps s’impatiente… Peut-être parce qu’il est temps. Mais le temps n’attend plus Que les gens ne s’affrontent plus. Car le temps s’impatiente… Peut-être parce qu’il est tempsTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.