200 ans ont déferlé sur les berges qui pleurent tous ceux portés par une liberté promise
braves des océans tempétueux maigres d'un voyage pernicieux morts, écorchés par un rocher
un retour vers les marées noires saoulé par la houle qui rythme la traversée des âmes libérées de leurs terres meurtries de leurs descendances ingrates rapatriées sur le vieux continent qui se lamente dans mes nuits sous le grand ours blanc
un retour vers la brume de glace qui figeait les grands vaisseaux dans son élan de grandeur donnait la mort aux hommes de mer noyés sous le nouveau dieu dans une cruelle symphonie d'hiver
oh vent du Nord libère les âmes de la fosse qu'ils puissent retourner danser sur les cotes de l'ÉireTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.