I/Ifernach/Le soleil rayonnait les carcasses pourries...
Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint
Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir…
La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir.
Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons de larves, qui coulaient comme un épais liquide le long de ces vivants haillons
Et ce monde rendait une étrange musique, Comme l'eau courante et le vent, Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
(d'après le poème de Beaudelaire)Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.