Seul je cris, Rognant le vide De mes doigts tordus. J'amorce la descente.
Béchistre en mes veines, J'étreins un convis de morts, Tous suintants de liqueurs posthumes. Tenant ce festin en horreur, Le vent déchire mon ventre Et s'y glisse en déroute.
J'implore cette masse noire De révéler la réalité. Gravant mon chant dans les pierres glacées La Nature Mère guide mon chemin dans l'éternité.
Le silence tel la belve M'astreint au martyre, Mon Moi vacille entre les torrents du sinistre Aquilon. Je me suis perdu moi-même Dans cette noirceur si délectable, Dans ce néant si parfait.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.