À l’aube déchirante L’air emporte un monde, De fumets et fumées.
Le Bucher sur la place Brule les carcasses Des êtres à oublier.
Mais ces exhalaisons Ne sont pas du sage, Ni du vif, du sain, du bon.
Sont-ce du cupide, Du fou, du riche, Du pauvre d’esprit Qu’elles s’échappent en rampant ?
Force est d’accepter L’olfactif ne ment, Et par cette matinée Le monde renaît du feu ardent.
Le peuple s’est éveillé Et par le Grand Bucher Il créa aussitôt Le souffle du renouveau.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.