De l'Auguste sis sur la montagne, Le sombre récit est entamé. De sa gorge déployée, Le sonore se fait tremblement, Le conte a fait des prisonniers.
Les flammes tournoient Créant l'ombre et ses créatures, Le folklore de jadis ou de jamais Resplendit une fois encore.
Alors que le songe Dévore et se gave d'âmes, Se heurtent les tristes paroles Qui dessinent silencieusement La Fin.
Le sonore se fit tremblement.
Yeux ternes et voix vides Se voient décharnés En un torrent d'ivresse Folle et salvatrice.
Tant de puissance en un Patrimoine perpétré par l'imaginaire. Les flammes tournoient Créant l'ombre et ses créatures, Le folklore de jadis ou de jamais Resplendit une fois encore.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.