H / Heresie / La mort de l'amour, pleutre cynique
Ô, Amour, ne t'ai-je point déjà dit ?
Te satisfaire j'en suis bien incapable Ta présence me fait souffrir, et j'en pâlis Le coeur si froid qu'il est palpable
Étalé dans ce parterre d'automne Ce qui fut dans mes veines ruisselle Et aux feuilles mortes ils se mêlent Je ne me suffis point de dictame
Le ciel gris comme l'organe Seuls les croassements des corbeaux Et ma mie haine m'accompagnent Jusqu'à la forêt comme tombeau
Ainsi, vil pleutre, me voilà... Grouillant d'affamés vermisseaux La chère pourrie deviendra terreau Et là, poussera de beaux Lilas... Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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