La jolie Blanche Epiphanie travaillait Pour un salaire de misère Chez Adolphus, banquier pervers Qui voulait la séduire et l'affamer Comme la pure Blanche Epiphanie Se défendait pour garder sa vertu Pour mieux la débaucher Il parvint à l'enfermer Dans un de ses hôtels particuliers
La pauvre Blanche Epiphanie Sur le point de succomber au banquier Est sauvée par un homme en noir Ce justicier masqué c'était Défendard Il ramène Blanche dans ses bras Jusqu'à la chambre où elle vit sous les toits Et le bon justicier Lui jure de la protéger Puis disparaît sans s'être démasqué
Mais Blanche Epiphanie fut enlevée Par l'horrible banquier Et quand Défendard vint la sauver La maîtresse du banquier Folle de jalousie Expédia Blanche dans une ville du midi Et chez madame Rosa La pauvre enfant entra Sans savoir que cet ignoble endroit Était une maison Où les dames sont au salon Sinistre lieu de perdition... ouais...
La pauvre Blanche Epiphanie A demi nue et les yeux pleins de pleurs Allait connaître l'infamie Quand un prince musulman plein de grandeur Racheta Blanche Epiphanie Pour l'emmener dans son palais d'Arabie Et le brave Défendard Cette fois arriva trop tard Car le bateau avait pris le départ
La naïve Blanche Epiphanie Se retrouvant bouclée dans un harem S'embêtait comme une madeleine Quand Défendard survint comme par magie Mais Hélas Blanche Epiphanie Alors qu'il s'enfuyait dans le désert Fut enlevée, quelle misère Par des bédouins sans pitié Qui assommèrent Défendard à moitié
Malheureuse Blanche Epiphanie Elle fut vendue comme esclave au banquier Qui en Orient l'avait suivie Alors Blanche Epiphanie afin de lui échapper Dans le vide s'est jetée soudain Fit de la mort comme un fameux destin Mais Défendard en l'air A bord d'une montgolfière Pu l'attraper avant qu'elle touche la terre
Si vous voulez savoir Ce qui leur arriva plus tard Vous n'aurez qu'à lire les journaux du soir...Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.