Tu la cherches dans les maisons de hasard Dans les bars, dans les gares, les salles d'attente Et tous les nulles parts La pluie qui te coule dans les yeux comme du brouillard Fait que tu la vois floue sur les trottoirs Comme dans les miroirs Tu la cherches et tu coures dans la ville Tu regrettes aujourd'hui la douceur de tes amours tranquilles Tu as beau te dire qu'un homme ça ne pleure pas Elles coulent quand même sur ton visage blême Les larmes malgré toi
Sois tendre, elle te répétait, sois tendre Mais tu ne voulais pas l'entendre Il ne te reste en décembre que des cendres Tu la cherches comme un bateau qui coule Tu crois l'apercevoir là-bas qui marche dans la foule Elle se retourne au son de ta voix Son visage étranger a des yeux étonnés Que tu ne connais pas
La vie ne vaut d'être vécue qu'avec sentiments L'amour est un malentendu que dure très peu de temps Il ne faut pas en garder de ressentiments Même s'il est sous-entendus qu'on va pleurer longtemps
Tu la cherches dans les maisons, les masures Dans les boîtes à tango, tu fais l'idiot jusqu'à la fermeture Les vitrines qui te renvoient ton air hagard Arrivent à te faire peur avec la douleur de ton regard Tu la cherches comme de l'oxygène Sans elle tu manques d'air et tu ne respires qu'avec peine Tu te sens mourir jusqu'au coin d'une rue Sous les yeux des passants toujours indifférents Qui croient que tu as bu
Sois tendre, elle te répétait, sois tendre Mais tu ne voulais pas l'entendre Il ne te reste en décembre que des cendres
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