Les nuits passent et se ressemblent une vie entière à côtoyer la souffrance naître seul, mourir seul et ne jamais vivre
Souvent je me demande ce qui est le plus toxique le nuage orange provenant de l'usine les sachets de neige, les pluies acides ou les humains peuplant la ville
Visions de mort, de la fin des temps, d'un autre monde naître seul, mourir seul, et enfin en finir
Souvent je rêve d'une catastrophe l'usine qui explose et nous emporte la ville qui brûle, se consume la fin du monde qui s'amorce
Je suis la fonderie à son état pur brûleur de déchets, instigateur de la purge sans pitié pour la vermine au sol géant destructeur misanthrope
Je suis le cadmium, le plomb, l'arsenic l'esprit de Chernobyl, la bombe atomique sans pitié pour la vermine au sol je vous extermine, vous empoisonne
Je suis la Horne et ses cheminées la peste noire, le jugement dernier sans pitié pour la vermine au sol je suis la mort, le karma
Je suis le dieu vengeur, l'exécuteur, le grand nettoyeur sans pitié pour la vermine au sol je vous écrase
Parasites que votre poison vous emporte Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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