De pleur venimeux déguisée sous un masque et gants de velours guidant laudience aveugle danse apres danse, le paroxsysm de la sensation sans son effet trahisant le coeur , le périhéliste chatiment dans toute sa splendeur sachevant vainement entre la lueur du ciel et la noirceur de la terre pour une fois de plus la passion menant lacte a terme, que de misérable astre léonique obéissant au dresseur d'étoile. . Lembleme et le désir ne faisant qu'un entre les griffes du félin pour la gloire et pour lhonneur poue le gibier frémissant de plaisir... . De chants étouffé par des larmes de sang et gémissement laissant transfigurer d'effroyables grimaces. Peine apres peine. La préface d'une autre absurdité répugnante... Alors qu'une théorie de fidele s'approche pour le couronnement de la dame au joues de rubix. Pour la comdmanation de celui qui n'a encore jamais ouvert loeil. C'est alors qui respire par lui meme, enfin dans le donjon qui la vu naitre là où il feras son dernier salut s'inclinant devant laudience inerte. Il s, empresse de ravir la lumiere de ses perles incarné... Il la fait fondre a travers ses barreux dans cette cellule au plancher de bois franc. On le feras parlé pour la premiere fois... ...
Ses paroles que de gémissement pour combler ses désir obscur. Cet etre encore trop pur n'ayant pecher que par son n'existance. Ce n'est que plus tard alors qu'on le plongeras dans la sueur de la pierre, qu'il seras désormais comdamné a porté la marque des faiblesà jamais la faille réside dans l'homme dans l'homme réside la foie. Qu, on le brise quon le bafoue, qu'on le pile, qu'on le tue car pour lui ce n'est qun pantin de plus accrocher a ses espoir de réssurection qu'une putain que l, on jette a la rue apres son extase qu'un humain de plus que lon na manipuler au nom de ses idoles. . Au nom de ses putain d'idoles
Qu, on le brise quon le bafoue, qu'on le pile, qu'on le tue car pour lui ce n'est qun pantin de polus accrooocher a ses espoir de réssurection qu'une putain que l, on jette a la rue apres son extase qu'un humain de plus que lon na manipuler au nom de ses idoles. . Au nom de ses putain d'idoles
Face a cette réalité cette pureté sestompe pour laisser place a lamertume de lexistence, passive nattendant rien sauf la fin de toute relativité du temps. Le chaos sen allant s'emparer de son esprit le laissant pour mort dans un océan de desespoir où il se laisseras bercer et berner par les cieux là où de pleur venimeux déguissé sous un masque et gants de velours guideroont l'audience danse apres danse... Le paroxysme de la sensation sans son effet trahissant le coeur le périhéliste chatiment dans toute sa splendeur s'achevant vainement entre la leur du ciel et la noirceur de la terre pour une fois de plus la passion menant lacte a terme que de misérables astres léonique obéissant au dresseur détoiles... Lembleme et le désir ne faisant qu'un entre les griffes du félin pour la gloire et l'honneur pour le gibier frémissant de plaisir . Afin de donner naissance a une autre existence. Témoin de sa prope comdamnation étant mortel pour la vie. Pantin du ventriloque... Pantin du ventriloque... . .
Õ funestre trahisson! Sombre mesquinerie;cruelle tragédie , qui déprave transforme chaque moment de reverie en une cauchemardesque comédie en eveil nous vivon se moment tragique ou se dévoile l'unique vérité. Sous de multiples facette s'abaissent nos yeux face a celui qui parle a travers l'homme ... O burlesque trahison foire au moquerie grotesque desprit qui làme sans larme nous fait soufrir déveil. En veil de ce moment tragique où le voile tomberas de ce visage l'éfondrement du chapiteau sous tes yeux glassé de feux. Le totale acomplissement de linfernale catharsis ... Abstruse réalité commandant la clarté de labsolue. De tes extrémité se libèrent les mouvement des acteur et de ton noyau sécoulent les action de ceux-ci dans une grave sans faille vierge prétention.
Les idées s'entremelent les voix me saisisent mais jamais elle n'existe toujours elles subsistent. Mon esprit n'est plus a croire. Mes sens m'enveniment. Légion de vision d'horreur, écarter vous ne suis-je pas maitre de mon existence. Ne le serai-je jamais. Qui est donc celui qui parle en moi. A qui appartient ce gants qui nous ramene tous a l'ordre du chaos. (il hait celui qui la créer , il est celui qui la créer2x). (qu'à son image ne se plient qu'a ceux qui lentendent 4x) comme il les déteste tous, ces infecte. Je vous déteste. Ceux-ci sont figurant de mon histoire. Ils sont les auteur de mon histoire. Ils sont les auteur de ma figure. Sans qui je ne suis plus. Je suis plus qu'eux . Je n'en veut plus. Je n'en peut plus. Alors que j'ouvre les yeux sur la scene, je les voi defiler... Ces etre béliqueux dont je suis admirateur de leur histoire. Je suis figurant. Devant le totale acomplissement de l'infernale catharsis... Ah mais quelle indiférence!qu'on nous brise, qu'on nous bafoue, qu'on nous pile, qu'on nous enlève la vie. Afin qu'aucun humain ne survie;afin qu'aucune divinité n'existe!. A cet instant jentend de chants étouffé par des larme de sang et des gémissement laissant transfigurer d'effroyable grimaces. Peine apres peine. Elles sont les ornement de cette piece;des masques terrifiant. De bonne foi;elles annoncent le dernier des holocaustes;la préface de ce dantesque dénoument... En ce moment je romps les liens qui me lient à ce monde. Je n'en peut plus d'appartenir cette existence. Je n'en peut plus d'etre mortel pour la vie. Je ne veut pas mourir poour la vie. Mais vivre pour la mort. En ce moment je libère les miens de cette honte. Je n'en peut plus d'ètre plaint et de plaindre. Je ne peut plus les suporter. Ces infection qui s'incruste en moi. Celles-ci qui font de moi un parasite... Un parasite... Ces chose que nous appelons sentiments , ils ne sont que des leurres. Ils nous accompagnent, nous traquent et nous persécutent, jusqu'à notre derniere heure. Nous somme tous pantin du ventriloque. Jusqu'à la fin nousTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.