Sur le passage des oiseaux Le large prend les voiles des bateaux Chassés par les hommes des villes Entre eux et le monde, une île
Les vents traînent dans la poussière Des fins de jours solitaires Des mains qui restent sans rien faire Comme une longue nuit d'hiver
Jersey, mouillée en bord de mer Jersey, le soleil y est allé Et des larmes s'y sont noyées Dans le thé devenu amer
Jersey, dans les voiles d'Angleterre Jersey, les anges sont pas démons Y a plus la mémoire des noms Dans les tramways de la Terre
Plongés à des mètres de fond La vie glisse lentement en rond Toujours pas le moindre radeau Pour s'éloigner des barrios
Et dans les brumes maritimes Résonnent des passions intimes L'envie d'un autre hémisphère Comme une longue nuit d'hiverTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.