Et au quinzième jour fût la glace De l'incarnation radicale De l'opposition boréale Les yeux au cirage à godasses.
Nous, dévastés par Samael Et ses orgues. En génuflexions strictes sur le tapis du salon, entre ma chambre et l'éternel.
Tous les arpèges en pluies acides martelant tous les riffs en plombs abritant mon amour lucide pour les pseudonymes à la con.
En noir et blanc, et en papier Les regrets froissés du tiroir Jaunissent en attendant le soir D'une vie qui se persuadait
Que c'était ça la vérité: Du maquillage, 3 incendies Trois cents grimaces et des grigris, La gueule d'Euronymous barrée.
C'était le Mordor à Meudon Et sa forêt périphérique. Le paganisme ésotérique Qu'on pratiquait sur nos balcons.
C'était Ctulhu à Charles Michel C'était Jean-Paul Bourre à Javel Sans une gonzesse aux alentours Et nos poignets pour faire l'amour.
Idéologies sans destin Bercées dans l'encens bon marché, Trop près du mur, mal balancées Mais qui brulaient nos intestins.
Et j'allumerais plusieurs chandelles, Par tout les bouts, au nom d'hier. Du Metal Noir tu restes fier, Ou tu finis à la poubelle.
Car crois-moi l'on t'y enverra C'est comme ça que finissent les traitres le crâne fendu, la gueule en sang Ton bras pété en guise de sceptre.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.