Trop beau, beaucoup trop beau Est notre amour, tu le sais bien Il sonne faux comme un duo de comédien
Trop grand, beaucoup trop grand Pour être vrai notre néant Organisé comme un roman d'absurdité D'absurdité...
Aimer quand c'est un jeu Sous le plein feu D'un pauvre lit Pourquoi vouloir y accrocher Des paradis
On croit que l'on y crois Puis un matin on s'aperçoit Que ce n'est rien Qu'un feu de joie Qui s'est éteint Qui s'est éteint
Un rien, il suffirait D'un presque rien Pour décrocher le grand rideau Et s'écrouler le chapiteau
Mais non (mais non) mais tu attends Mais moi j'attends que l'un de nous Trouve le cran de libérer un beau matin Ces deux pantinsTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.