Avoriaz, Avoriaz La Suisse et L'Italie te serrent dans leurs bras Mais tu restes chez nous et je rêve de toi Avoriaz, Avoriaz Telle une fille que les quatre saisons Habillent ou déshabillent à leurs façons Comme pour mieux nous faire perdre raison Je connais un coin de France en jupon Que l'hiver revêt d'un manteau d'hermine Et dont l'automne rouille les cimes Que le printemps vêt d'une robe à fleurs L'été en ravivera les couleurs Telle une fille qui aux quatre saisons Change d'humeur et change de passion Comme pour mieux nous faire perdre raison Je connais un coin de France en jupon L'hiver l'on vient se glisser tout contre elle Jusqu'au printemps, tant elle est belle Et de l'été à l'automne mourant Elle se donne à vous comme un torrent Avoriaz, Avoriaz C'est parce que t'es si belle Qu'il y a si peu de noms Qui de près ou de loin Riment avec ton prénom Avoriaz, Avoriaz C'est parce que t'es si belle Que dans si peu de choix Il n'y a que topaze Qui soit digne de toi Avoriaz, AvoriazTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.