Un rideau s'ouvre sur une fenêtre Qui s'ouvre sur le matin Un corps qui glisse sur mon dos Qui se glisse hors de moi
Les enfants sont muets À chasser les brumes du matin À courir nus dans la rue Sur la pointe du jour
Je n'ai besoin de rien de plus Que de me laisser bercer Que le silence est bon Quand t'as pu la force de crier
Un café qui fume en silence Des regards qui s'embrassent Un mot qui perd son sens Quand l'amour prend sa place
Et sous le poids du jour Dehors la ville étend ses bras Et en dedans de ceux qu'elle porte Le silence se fait froid
Je n'ai besoin de rien de plus Que de me laisser bercer Que le silence est bon Quand t'as pu la force de crier
Un rideau se ferme sur une fenêtre Qui se ferme comme un oeil Et le monde s'endort inutile Sur des rêves en papiers
Un corps se glisse auprès du mien Glisse en-dedans de moi Des mains qui se cherchent en silence Sous des milliers de draps
Je n'ai besoin de rien de plus Que de me laisser bercer Que le silence est bon Quand t'as pu la force de crier
Je n'ai besoin de rien de plus Que de me laisser bercer Que le silence est bon Quand t'as pu la force de crier
Je n'ai besoin de rien de plus Que de me laisser bercer Que le silence est bon Quand t'as pu la force de crier Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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