Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié! Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait le bond sourd de la bête féroce. J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot. (Arthur Rimbaud, from Une Saison en enfer, August 1872)
Messiah, of new bleakness Now that every star is dead As every door is shut There comes sorrow Scoffing at all my foolish sublimations. Just one kiss does more. Than any lack of memories. Now take me dreadful fire… Burning any remain of mercy in my misplaced spirit Fill up my eyes black light So that I can truly forget the colours, rip off canvas of all those springs that never more will come back I’ll slat clumsy soliloquies drenched in hope, my ridiculous dream I’ll kill.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.