Sous leur crâne en poussière On dirait qu’ils sont fiers De leurs idées
Sur leurs chevaux rayés Les canons enrayés De la beauté
Vivent les hommes
N’oubliez pas non plus Qu’on ne reconnaît plus Ses amis
Les rides entrecroisées Le visage froissé
De brebis
Vivent les hommes
Ils ont petits, grandis, démesurés N’essayez de les mesurer
Ils ont des horizons Plus hauts que des maisons De dix étages Et bien plus hauts que les nuages
Ils ont des horizons Plus hauts que des maisons De dix étages Et bien plus hauts que les nuages
Le chagrin les domine
Comme un vieux puits de mine Abandonné
Les profonds souterrains Qui leur creusent les reins Condamnés
Vivent les hommes
Chaque jour affairés Le long des voies ferrées De banlieue
Les voilà qui s’installent A table, les mains sales
Vivent les hommes
Ils ont petits, grandis, démesurés N’essayez de les mesurer
Ils ont des horizons Plus hauts que des maisons De dix étages Et bien plus hauts que les nuages Ils ont des horizons Plus hauts que des maisons De dix étages Et bien plus hauts que les nuagesTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.