Veux-tu que je te couvre les épaules Veux-tu que je t’allonge ou veux-tu que je t’aide Veux-tu que nous fassions quelques pas au soleil Ou bien à l’ombre, pour moi tout est pareil
Dans la demeure qui fut la nôtre
J’allume ou bien j’éteins, veux-tu l’obscurité Que je me tienne encore à tes côtés Ou bien fermer les yeux, veux-tu que je me taise ? N’entendre que Chopin ? mazurkas, polonaises ? …
Dans la demeure qui fut la nôtre Dix mille saisons depuis Dix mille saisons et puis
Veux-tu que je t’entrouve la fenêtre Que tu sentes l’odeur que le printemps fait naître
Dans la demeure qui fut la nôtre
Et j’ai posé mes yeux dans un coin du plafond Et j’ai touché sa joue, froide comme une feuille Et le jour était là, comme un enfant recueille Un couple d’oisillonsTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.