Un oiseau s’est posé Il tenait dans son bec Comme un papier plié Messager mais qui ne savait rien De l’endroit qui t’as vu partir Et de la fièvre ni des frimas N’avait rien connu de pire N’avait rien connu d’aussi étrange Que le destin des hommes De celles qu’ils aiment, mais qu’ils oublient
Un oiseau s’est posé Il tenait dans son bec Dans le froid soudain qui vous fait naître C’était un roitelet je crois Il grelottait dans la tempête
Un passager des limbes d’autrefois M’a dit que tu reviendrais peut-être Par ses yeux tu me regarderas
Il n’avait rien connu d’aussi étrange Que le destin des hommes De celles qu’ils aiment, qu’ils oublient Comme un papier se pliera ou bien se dépliera
Un oiseau s’est posé Dans un frisson comme tu le faisais toi C’est dans le froid soudain qui vous pénètre Dans le froid soudain …
Il n’avait rien connu d’aussi étrange Que le destin des hommes De celles qu’ils aiment, mais qu’ils oublient Comme un papier se pliera …
De celles qu’ils aiment, qu’ils oublient Comme un papier se pliera …
Que le destin des hommes De celles qu’ils aiment, qu’ils oublientTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.