Quand une femme Se lève le matin Fait chauffer de l’eau Regarde ses mains Sort sur le devant De son bungalow Peut-être alors elle se souvient Des choses inconnues Qu’elle avait oubliées Comme un papier plié Sous un petit coussin Doux comme un mocassin
Se lève le matin Fait chauffer de l’eau En regardant au loin Si le temps sera beau S’il pleuvra demain Ce sont des choses inconnues Qu’elle avait oubliées Comme un papier plié Ou comme un oreiller Celui-là, celui-là même Où si longtemps avant Quelqu’un avait écrit La fin de ce poème De ce récit
Fait couler de l’eau Le long de ses reins Le long de son dos Et puis se souvient Comme un papier plié Sous un petit coussin Doux comme un mocassin Ce sont des choses inconnues Qu’elle avait oubliées Comme un papier plié Sous un petit coussin
Ce sont des choses inconnues Qu’elle avait oubliées Une soucoupe toute émaillée Qu’un rayon fait brillerTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.