Je ne peux plus rien y faire, quand un beau matin S'installe dans ma tête claire, le temps du dédain Je vole, je file, je cours, je peine, je fuis Dans les glaces où je vis Dans les profonds miroirs je peine, je cours, je vole, je vis et puis Je m'expatrie
J'abandonne ma peau si douce, et c'est sans espoir Que je donne mes sourires, et mon teint d'ivoire Je vole, je file, je cours, je peine, je fuis Dans les glaces où je vis Dans les profonds miroirs je peine, je cours, je vole, je vis et puis Je m'expatrie
Les glaces froides ravissent, le fond de mes nuits Et j'attends l'ombre complice, qui me dira "oui" Je vole, je file, je cours, je peine, je fuis Dans les glaces où je vis Dans les profonds miroirs je peine, je cours, je vole, je vis et puis Je m'expatrie
Je ne peux plus rien y faire, quand un beau matin S'installe dans ma tête claire, le temps du dédain Je ne peux plus rien y faire, quand un beau matin S'installe dans ma tête claire, le temps du dédainTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.