L'édifice s'effondre Et le ciel me condamne A rejoindre la tombe Que mes rêvent profanent
Je sombre dans l'étreinte enivrante du soir Comme on noie dans l'absinthe le reflet d'un regard Les flots lourds de la Seine Accompagnent mes pas Et le chant des sirènes Me fait glisser vers toi
Elle s'élève lascive Caressant les nuages Puis d'un geste dérive Pour éviter l'orage Qu'elle amorce en moi Réalité futile Ô délivre-moi De l'angoisse et du vide
Le rêve s'entrelace à la vie Ma vie s'entrelace aux rêves
Souffrance, épargne-moi Ô mon Amour Que la mort soit douce, éternelle Emmène-moi Sous la nuit d'argent
Descend encor au plus profond Ou même les nuits se fanent Afin que d'un rayon diaphane Au sein du néant sur ton front S'éclaire un nouveau lendemain Brûle tes larmes divin poète La peine sera pour ceux qui restent Ouvre ton âme et prend ma main
Souffrance, épargne-moi Ô mon Amour Emmène-moi Sous la nuit d'argent
Viens !
Eurydice, un soleil s'illumine Ténèbres... Ô Béatrix, guide mes pas Freya, divine reine Je viens vers toi Je viens vers toi Aurélia
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